~† kuroshitsuji †~
Hey toi ? T'es nouveau par ici ? tu ne sais pas que ces rues sont dangereuses ? Tu ferais mieux de retourner d'où tu viens, si tu n'es pas assez préparer pour affronter cette dure réalité.Le monde n'est plus celui que tu connais, ici ne crois pas être le plus puissant, où tu tomberas sur de gros ennuis. Gravelir les échelons, et arriver à s'en sortir, c'est sûr que c'est ce que tout le monde recherche, mais est-ce bien une raison pour écraser les autres autours de toi ?
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A savoir
27/09/2017 - Mise à jour du design
# Seconde information rapide...
Contexte
Londres, 19e siècle. Les humains sont décidément bien querelleurs... pourrait-on se dire. Ils ne cessent de chercher le pouvoir pour s'entre tuer et sont même parfois prêt à vendre leur âme pour arriver à leurs buts... Les créatures de l'ombre et de la lumière ont toutes un point de vue sur la question : les humains sont sacrément incompréhensibles. Mais il y a une chose qu'ils comprennent bien : détourner le Monde à leur image, idyllique ou.. cauchemardesque. Ils croient pouvoir s'ignorer, faire route seuls, ou pactiser avec quelqu'un qui restera à leur côtés jusqu'à la concrétisation de leur but, ou mort, mais tous, un moment ou un autre, finissent par se croiser sur la route. C'est irrémédiable. Serez-vous un Noble, un simple humain, honnête ou malin, malveillant ? un fier Démon aux sombres idées, capable de se sortir de n'importe quelle situation et vivant parmi les humains ? un Ange anonyme rêvant de Monde Parfait et de Recommencement ? un Shinigami sérieux, dérangé, qui doit se fondre dans la masse ou alors un Autre clandestin, au psychologique animal ou humain..? Chaque créature doit faire des choix pour atteindre ses buts, car d'autres pourraient saisir la chance à leur place... Chacun ses intérêts... et un conseil : ne croyez pas pouvoir ignorer les autres créatures sur votre chemin...
Evénements
Hey toi ? Tu ne sais pas la nouvelle en ville ? Des expériences scientifiques ont été faites, et certains morts peuvent revenir à la vie! Glauque ! Mais non c'est pas vrai, c'est qu'une rumeur ... t'imagines des maccabés vivre parmi nous ? n'importe quoi ... pas vrai ? C'est une blague ?
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Date d'inscription : 22/04/2018
Fauste Kramer
Fauste Kramer




Fauste Kramer


Informations générales


Mon nom est Fauste Leopoldine Kramer, mais on m'appelle Fauste, ou Lady Kramer. J'ai actuellement 35 ans et je suis une humaine. Je suis né à Strasbourg, et du coup je suis Française. Je suis aussi bisexuelle. J'aime les mathématiques, la littérature, collectionner les mots, l'alcool, les fourmis, les rapaces, les chats et les papillons de nuit mais je déteste les médecins, la couleur blanche, tout ce qui a trait à l'inquisition et le chocolat. Je suis un peu spécial car je suis capable de voir le passé d’une personne et de prédire différents chemins possibles pour l’avenir, cependant j'ai peur que l’on m’interne à nouveau.



Caractère & Psychologie


Figure lunaire, perdue chez elle ou sous la lueur des réverbères, incapable de se repérer dans l’espace, rarement dans le temps, toujours perdue, un peu à l’ouest, peinant à comprendre les rires ou les pleurs d’un enfant.

Insensible disaient beaucoup, c’est pour cela qu’elle a fini entre ces murs blancs tout au départ. Pourtant, aucun manque d’amour, l’amour elle en a, débordant, mais elle ne sait pas comment l’exprimer, comment comprendre les gens, les autres. Leurs paroles, leurs sourires, les rires qui masquent l’anxiété sont égal aux rires empreints d’une joie sincère à ses oreilles. Les larmes de joie ou d’accablement ont pour elle le même éclat, et lorsque ses enfants pleuraient, elle ne comprenait pas, restant devant eux, immobile, les bras ballants, atterrée. Et lorsque son mari s’emportait, elle ne comprenait pas non plus, effrayée devant cette colère, sans comprendre les reproches, l’esprit trop volatile pour réellement s’y attacher.

Dire « je t’aime » à son époux ne l’a jamais effleurée, elle pensait que les sourires à demi exprimés pouvaient suffire, que leurs étreintes suffisaient à lui montrer son amour. Peu de mot, beaucoup d’absences, elle a plus erré dans les rues que tenu un enfant contre son sein, il est vrai. Et pourtant elle les aime, ses enfants qui grandissent loin d’elle, à l’autre bout de la mer. Mais son époux qui l’a quittée clame qu’ils sont mieux loin d’elle, loin de ses sourires sans fond et de ses lubies trop étranges. Alors elle a souri, et acquiescé, peut-être que c’est vrai après tout, un enfant n’a rien à faire avec une anormalité.


Elle peine à l’empathie, et pourtant, ce n’est pas la volonté qui lui manque. A chaque rencontre, a chaque discussion, elle s’efforce de se faire attentive, mais un détail finit par la perdre, et elle ne comprend pas, et alors l’autre s’agace et l’effraie un peu plus. Poupée de chiffon insensible, disent beaucoup, alors que les émotions l’assaillent toujours, ses propres ressentis l’écorchent vive, ses propres doutes et ses propres réflexions l’exaltent ou la font souffrir. Mais lorsque cela touche aux autres, elle ne comprend pas, voilà tout.


Sourires simples, un peu perdus, elle oublie souvent son chemin ou ce qu’elle devait faire entre temps. Ce genre d’absences sont devenues pires depuis qu’elle a connu les murs blancs.

Pourtant elle aime parler, et elle aime les gens, toujours un peu craintive au début c’est vrai, elle a peur de blesser, d’être incorrecte, trop franche ou même méchante dans sa franchise. Le mensonge, elle ne connait pas, elle se livre sans artifices et sans chercher à rien édulcorer. S’attacher, elle a du mal, l’attention d’un volant, la capacité de mémoriser un visage et un nom est bien faible chez elle. Parfois elle inversait le prénom de ses enfants, ou même celui de son mari et du majordome rencontré la veille, alors, les relations sociales sont ardues, voire impossible. Cela dépend de chacun.




Histoire


Descendante de l’inquisiteur qui traqua et brûla des centaines de sorcières, sa venue au monde fut chaotique, un peu précipitée.

Elle est née prématurément, en Juillet au lieu d’Août, dans le grand hôpital au centre de la belle Strasbourg. Avorton d’humain trop faible pour que l’on puisse le remettre à sa mère, son premier mois fut passé à la clinique, puis entre les bras d’une nourrice attentive à ses moindres besoins, et un peu inquiète de voir ce bébé qui pleurait rarement et passait des heures entières à fixer le plafond.

Elle a deux frères, une grande sœur, tous normaux, mariés, rentrés dans la norme et heureux selon les gens bien de leur cercle bourgeois.


Et puis Fauste a grandi, un peu à l’écart des autres enfants il est vrai, sa santé fragile, selon ses parents. Elle avait parfois des réactions de peu réussissaient à comprendre au contact, comme si on l’avait brûlée ou menacée de mille morts. Difficile alors de se faire une place dans ce monde d’enfant qui n’admet pas l’absurde, et elle avait continué son chemin, seule, peu perturbée par ce qui semblait pourtant être un rejet évident des autres. Sa fratrie était présente, ses cousins jamais bien loin, alors elle n’avait aucune raison de se sentir isolée, même si quelquefois son propre sang ne semblait pas la comprendre également.

Elle a grandi, comme toutes ces petites filles de bonne famille entourées de précepteurs. On lui a inculqué ces choses charmantes qui ne servent pourtant pas à grand-chose dans le monde véritable, la couture, la broderie, danser et jouer d’un instrument pour divertir lors des soirées. Être droite, fière mais pas hautaine, douce sans être facile, une femme honorable qui rendra son mari heureux et lui assurera une descendance digne de ce nom.

L’enfant qu’elle était peina à comprendre tous ces codes, s’efforçant de les assimiler. Acceptant l’aliénation comme tout un chacun, jusqu’à se convaincre que sa juste place était celle dictée par les normes, à l’église le dimanche, prier dieu avant les repas. Ce Père, ce Seigneur omniprésent dans les paroles de ses proches, et pourtant toujours absent, cette chimère un peu rassurante en laquelle elle n’a pourtant jamais cru.


Lorsqu’elle était encore jeune, on la maria à un homme qui l’était beaucoup moins. Par la force des choses, un peu par obligation, l’autre pour mieux s’accommoder de sa situation, certainement, elle réussit à se persuader qu’elle l’aimait. Ils eurent trois enfants, un quatrième qui mourut encore en son sein, puis la santé de Fauste déclina en plus de ses terreurs au toucher.

Elle passa trois ans entre les murs blancs, non loin de la ville qui l’avait vue naitre, et puis deux autres au sein de la capitale Britannique, où les médecins clamaient pouvoir mieux la guérir. Cinq ans à subir les traitements des médecins qui n’admettent pas l’échec et viennent ajouter démence à l’anormalité déjà présente. Durant ce temps, son mari la quitte, un coup dur, surtout pour cette époque, et cette société si guindée. Une somme est versée en échange du silence de sa famille, et le père s’en va avec sa progéniture. Aux curieux, il dira que leur mère a rejoint le Seigneur.

Deux ans passent donc. C’est une âme charitable, un sorcier de passage qui l’a sortie de l’enfer aseptisé, après avoir remarqué son don, la clairvoyance qui n’a en réalité rien d’une démence. Sa famille lui envoie régulièrement de l’argent, en échange de son silence, et de la promesse qu’elle ne retourna jamais au pays après avoir manqué de les déshonorer. Tout le monde la pense morte, de l’autre côté de la mer.


Aujourd’hui, il n’y a pas encore beaucoup de couleur sur les murs vides de son appartement, et ses absences se répètent. Un peu perdue dans cette liberté inopinée, elle évolue, et tombe un peu trop souvent. Comme un oiseau sorti d’une cage trop étroite et qui ne sait plus voler.



Physique



Refiefs sur son visage que le temps a creusé de fines ridules aux coins des yeux, rien de flagrant, rien d’accablant, mais une présence bien définie lorsqu’on s’y attarde. Il paraitrait si jeune, son visage, son regard, sans ces ridules qui creusent sa chair juste à côté de la prunelle.

Accident dans le regard hazel, dans ce miel un peu brun qui tache l’iris et constelle la surface humide de la rétine ; l’œil. Le regard un peu fuyant, assez doux, parfois tendre ou curieux, comme une enfant qui s’éveille après un sommeil un peu trop agité. Accident dans son regard à la jovialité instable, crevasses mélancoliques qui s’ouvrent au milieu du discours, juste assez pour laisser passer la tristesse, jamais larges au point de libérer la clepsydre lacrymale.

Instables ses bras blancs où les coupures guéries aujourd’hui se discernent, ses poignets qui tremblent, incapables de maintenir la moindre écriture régulière désormais, traitres, inconstants. Instables ses doigts fébriles qui se saisissent des ciseaux et du journal du matin, pour en découper les mots avec patience, un à un, jusqu’à ce que le bras tressaute ou que les yeux ne se ferment.

Chancelant son corps un peu maigre, plus habitué aux attaches qu’aux robes de mousseline, son corps un peu traitre qui supporte mal l’orage et menace de se briser au moindre accident. La peau pâle, beaucoup trop, maladive, rouge sous le soleil qui ne l’agresse que rarement, dissimulée sous les couches interminables de vêtements et d’ombrelles. Surface fragile de son corps qui chancelle et vacille, aux tâches de rousseur ocre sur les joues, le nez, un peu, le long de l’arrête et sur les épaules, aussi. Quelques cicatrices sur ses bras, le rasoir qui s’est trop enfoncé, blanchâtres aujourd’hui, fantômes passés. Coupure le long de son ventre, là où les enfants ont été retirés, car ses hanches trop étroites ne pouvaient laisser passer la vie sans se briser.

Fragiles ses cheveux trop longs qui effleurent ses cuisses, masse épaisse protégeant et son crâne et son dos, cascade pâle, un peu trop, la brume du matin qui enveloppe les champs de blé. Souvent laissés libres de s’emmêler comme bon leur semble, ils lui donnent l’allure d’un fantôme, ou d’une folle à nouveau, une illuminée lunaire qui erre dans les couloirs puis la ville sans trop savoir ce qu’elle cherche. Un volant nocturne sur l’épaule, un matou dans ses bras faibles, les pieds nus parfois, lorsqu’elle oublie à moitié de se vêtir et laisse une simple chemise un peu trop fine l’habiller.




Y'a quelqu'un derrière tout ça?


On m'appelle Eliott. J'ai actuellement très faim et mon niveau de RP est un peu meilleur que ma cuisine. J'ai découvert ce forum par partenariat et en en plus, je me connecte environ souvent, tkt. Mes loisirs sont pester contre le design et les chaises. Aussi mes mangas préférés sont Black Butler, Death Note et j’en passe. Et j'aimerais finir en disant rien du tout, tu crois quoi.



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Fauste Kramer
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Fiche terminée, en espérant que celle-ci convienne... oh
*court après le chat noir*
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